|   L’abbé Jacques André nous a quittés pour rejoindre 
			le Père, ce mercredi 18 mai 2016.
 Si certains l’ont connu comme diacre et professeur à l’Institut 
			Saint-Joseph de Charleroi, c’est en tant que curé de Villers-Perwin, 
			Mellet, Wayaux, et Frasnes-lez-Gosselies qu’il a marqué la vie des 
			Bons-Villersois.
 
 Né à Gedinne le 2 avril 1937, il fut ordonné prêtre à Tournai, le 24 
			juin 1990, après une carrière d’enseignant déjà bien remplie. C’est 
			donc à la fois un « jeune prêtre » et un homme d’expérience qui a 
			conduit notre « petit troupeau » durant une quinzaine d’années.
 
 Les catéchistes garderont de Jacques André son extraordinaire 
			capacité à rentrer dans le thème de la célébration, son écoute, sa 
			manière de s’adresser aux jeunes et aux enfants. D’autres se 
			souviendront de ses homélies où il aimait faire allusion aux anges, 
			qui l’inspiraient particulièrement lors des grandes occasions…
 
 Tous, y compris ceux qui ne fréquentent pas l’église, garderont le 
			souvenir d’un homme jovial, proche des gens, qui savait les 
			rejoindre dans les moments de douleur comme de joie. Il était de 
			toutes les fêtes, de tous les soupers et spectacles qui se donnaient 
			dans la commune. Bien avant l’exhortation du Pape François, il était 
			de ceux qui osaient « aller aux périphéries ».
 Atteint par la limite d’âge, il avait remis sa 
			charge curiale pour rejoindre l’équipe presbytérale de Charleroi 
			comme prêtre auxiliaire. Il était aussi aumônier des 
			"Brancardiers-mineurs Notre Dame de Lourdes.
 Ses funérailles seront célébrées le mardi 24 mai 2016 à 10h en la 
			Basilique Saint-Christophe, place Charles II à Charleroi. Une 
			dernière visite peut aussi lui être rendue au funérarium De 
			Spiegeleer, avenue Eugène Mascaux 119 à Marcinelle, du vendredi 20 
			mai au lundi 23 mai, de 17h00 à 19h30.
 
 Nous ne manquerons pas de prier encore une fois tout spécialement 
			pour et avec l’abbé Jacques André lors d’une de nos prochaines 
			assemblées dominicales (probablement à Villers-Perwin, puisque c’est 
			là qu’il a résidé). On en reparlera dans une prochaine édition de la 
			« Croisée de nos chemins ».
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